Vue de l’exposition Pierrick Sorin, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2001. © Pierrick Sorin / Adagp, Paris. Photo © André Morin.
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Aperçu de l’exposition

Réunissant une vingtaine d’œuvres et environnements vidéos, dont sept créations inédites, 261, Boulevard Raspail, Paris XIV, a entièrement été imaginé par l’artiste. Énumérant les différentes techniques qu’il a utilisées dans toute son œuvre, des autofilmages aux saynètes burlesques en trois dimensions, Pierrock Sorin met ici en scène un thème récurrent de son travail : la relation entre l’univers intime de la vie quotidienne comme lieu de l’action et de la création (de la cuisine à la chambre ou au jardin, comme autant de métaphores de l’atelier) et l’espace de la vision (le musée ou la galerie).

Artistes et contributeurs de l’exposition :
  • Pierrick Sorin

L’exposition en détails

« L’idée de faire une maison dans la Fondation Cartier, c’est aussi la volonté de retrouver une liberté de travail comme celle que j’avais à 20 ans. C’est aussi une façon de montrer que l’artiste n’est pas seulement quelqu’un qui fait de la vidéo ou de la peinture, mais aussi quelqu’un qui cherche depuis qu’il est tout petit, qui essaie de toucher à différentes formes d’expression, pas forcément pour trouver une voie précise mais simplement parce que la curiosité fait qu’on n’arrive pas forcément à se figer sur un mode d’expression ».

Pierrick Sorin, 2000.

Galerie d’images

Vue de l’exposition Pierrick Sorin, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2001

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© Pierrick Sorin

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Vue de l’exposition Pierrick Sorin, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2001

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Photo

© André Morin

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