« Comme dans la première enfance, contre la malédiction de l’ennui, de la propreté et de la petitesse de l’ordinaire. Usures et amour. Réserves et invasion. Des idoles : les résidus, les lambeaux, resserrés ici et célébrés encore. Fonds de tiroirs et jubilation. Un contre-désastre après le jeu du théâtre quand tout est défait. Un fait de colère. Le bonheur est mesquin, entre embellissements, panoplies, pompons et jolis ouvrages. Attirails du petit confort, usagé, usé, affaibli. Jouer de cette vaste blague. Dans cette réserve, le défilé des quelques parures et blouses d’une tribu qui traverse. Caniches à manchons taillés ou corniauds galeux. Fragments de vie de chiens. »
Macha Makeieff