Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2005. © Adriana Varejão. Photo © Patrick Gries.
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Aperçu de l’exposition

Pour la première fois en Europe, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente une grande exposition personnelle de cette artiste qui s’impose comme l’une des figures les plus singulières de la création brésilienne contemporaine.

Artistes et contributeurs de l’exposition :
  • Adriana Varejão

L’exposition en détails

Réalisé spécialement pour l’exposition, Celacanto provoca maremoto (« le cœlacanthe provoque les raz-de-marée ») évoque un mur d’azulejos ; une vague à la Hokusai, déferlante et monumentale, traverse le rez-de-chaussée de la Fondation Cartier. Réminiscence du caractère organique des édifices baroques, les deux « ruines » Linda da Lapa et Linda do Rosário (2004), découpent la silhouette accidentée de fragments de murs dont les tranches laissent apparaître des lambeaux de chair.

Galerie d’images

Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2005

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© Adriana Varejão

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Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2005

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Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2005

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Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 200

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Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 200

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Vue de l’exposition Adriana Varejão, Chambre d’échos, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris, 2005

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Si le corps – fragmenté, meurtri, tatoué – est souvent présent dans les œuvres de Adriana Varejão, il devient allusion métaphorique dans la série des Saunas, imposantes huiles sur toiles qui explorent les questions inhérentes à la peinture. Bleu, gris, blanc, jaune, les Saunas sont des quasi-monochromes, nuancés par les ombres et lumières qui font naître les volumes et créent un espace labyrinthique, intériorisé, virtuel.